vendredi 26 juillet 2013

Faut-il aujourd'hui faire le deuil définitif de SIDOR ?

Je viens de lire à l'instant que SIDOR (l'industrie sidérurgique du Venezuela) ferme ses portes faute de réfracteurs. La nouvelle apparaît illustrée d'une piètre photo. Il se trouve que j'étais en train de travailler sur le Plan Quadriennal du président Romulo Betancourt pour la période 1960-1964. Alors, je peux vous assurer cela fait un drôle d'effet d'avoir entre ses mains tant des projets et des rêves et de se confronter à cette douloureuse réalité de voir gâchée l'oeuvre de toute une vie. Depuis déjà quelques années les travailleurs de cette industrie basique, fierté du pays et oeuvre de la période rayonnante du gouvernement de la coalition, sont en conflit avec le gouvernement "bolivarien". Cependant lorsque l'on cherche des information sur internet, l'on voit apparaître des titres encourageants qui font croire que SIDOR est aussi "révolutionnaire" que tout le Venezuela. Un Venezuela que beaucoup comparent désormais au pays de merveilles d'Alice, le personnage de Lewis Carroll, transposant la situation des Vénézuéliens à celle d'Alice derrière le miroir et à celle d'Alice devant le miroir. On a eu beau dénoncer les cas de corruption, la fraude électorale, les violences quotidiennes, l'insécurité, la pénurie, l'insoutenable inflation... Tout cela n'a aucune valeur face à ceux qui sont convaincus des bontés de ce régime. On entend les Vénézuéliens s'écrier : "ça y est ! on touche le fond !" Et le lendemain apparaît encore une nouvelle info qui nous fait répéter une fois de plus la même expression. Et moi, je me demande... " y a-t-il vraiment un fond ? "
Toute cette tragédie se joue avec la complaisance de ceux qui préfèrent suivre le lapin et rêver d'un pays des merveilles où qu'ils se trouvent et quelque soit la responsabilité politique qu'ils occupent. Eux, au moins, ils tirent un quelconque avantage ou n'ont juste rien à y faire.
Je ne rentrerai pas dans les détails de l'histoire d'un pays où la polarisation politique avait toujours était le talon d’Achille d'une société méfiante des divisions partisanes qui l'avaient conduite à des innombrables guerres pendant tout le XIXe siècle, passionné du débat politique, encline à se laisser périr pour une idéologie et qui a souffert les répressions et les manipulations de deux dictatures implacables, celle de Juan Vicente Gomez et celle de Marcos Pérez Jiménez. Le nouveau régime paraît réunir tous les maux du passé à lui seul.
La période 1960-1964 semblait mettre un terme et ouvrir la voie d'une histoire plus heureuse pour le Venezuela... aujourd'hui on laisse mourir tout cet héritage. Beaucoup ont laissé leur vie sur le chemin pour nous laisser un pays digne de ce nom, qu'on déchire aujourd'hui au nom d'une soi-disant révolution.

mardi 23 juillet 2013

De l'usage des médias en dictature : une pratique déjà connue au Venezuela, identifiée et dénoncée jadis par les Démocrates

EXTRAIT DU MESSAGE ANNUEL DU PRÉSIDENT CONSTITUTIONNEL DE LA RÉPUBLIQUE, MONSIEUR RÓMULO BETANCOURT, AU CONGRÈS NATIONAL

Malgré les fautes de technique budgétaire déjà notées, et qui se trouvent rectifiées dans le projet de budget pour l’exercice fiscal 1960-1964, malgré aussi les évidentes déficiences de la machine administrative vénézuélienne, l’action du gouvernement dans tous les secteurs offre un bilan que je n’hésite pas à qualifier de positif. C’est maintenant, en écoutant et en lisant ce Message, en voyant les chiffres des prêts accordés, des maisons, des écoles, des kilomètres de routes construites que la Nation pourra apprécier à quel point est favorable ce bilan. Car je ne nie pas qu’il n’y a pas eu de coordination pour informer l’opinion d’une manière constante et systématique sur ce que faisait le Gouvernement et où il le faisait. La Presse, la Radio, la Télévision n’ont pas été suffisamment utilisées, je ne dis pas pour louer les gouvernants mais pour réaffirmer avec preuves que les systèmes démocratiques ne sont pas seulement respectueux des libertés publiques, mais plus efficaces que les dictateurs dans la création de biens et de services utiles à tous.[1]

Il y a peut-être une autre explication du fait que l’on ne sache pas mieux ce que fait le Gouvernement et où et comment il le fait. C’est la tendance si marquée chez les commentateurs de la presse et autres moyens d’expression, à quelque parti qu’ils appartiennent, à donner tout leur intérêt aux questions purement politiques, aux frictions entre partis, aux débats idéologiques abstraits. Déjà Depons, le Comte de Ségur, Humboldt et autres voyageurs intelligents qui nous visitèrent au XIXe siècle remarquèrent le goût et la délectation que prenait le peuple de Caracas dans le débat politique. Comme les provinciaux qui viennent vivre au pied de l’Avila semblent se contaminer de cette tendance, et Caracas, étant la capitale politique et administrative du pays il suit que cette tonique du débat polarisé vers la politique pure, et ne touchant que par la tangente les problèmes administratifs et économiques, influe sur tout le pays. Je ne critique pas : je formule une observation évidente avec laquelle je pense que seront d’accord toutes les personnes de bonne foi qui ne sont pas seulement à l’affût des paroles d’un Chef d’État pour les interpréter avec malveillance à des fins sectaires. Et de même que je constate le fait, je signale comme possible et désirable que l’on mette une sourdine à ces débats qui n’intéressent que le pays politique et laissent indifférentes la nation et cette énorme partie des Vénézuéliens qui n’aspirent qu’à voir résolus les problèmes concrets qui les affectent.

Caracas, le 29 avril 1960.



[1] L’utilisation extrême des médias à des fins de propagande politique a été une habitude invétérée des régimes dictatoriaux vénézuéliens.



C'est ainsi, grâce aux médias, que le dictateur Perez Jiménez (1950-1958) s'est soudain transformé dans le modernisateur de la Nation, quand bien même les rapports en matière d'éducation et des services sanitaires publics révèlent un recul notable.




Dans une dépêche du 24 février 1959, M. Pierre Denis, Ambassadeur de France au Venezuela, fermait ainsi sa présentation du 1er discours du Président Betancourt au Congrès (le 11 février 1958) :

 Arrivé au terme de son discours et constatant que le Gouvernement constitutionnel prend son départ, « avec la garantie d’un solide aval de l’opinion publique et assuré du loyal appui des Forces Armées », le Président rappelle à celles-ci les nombreux contacts qu’il vient d’établir avec elles dans tous les domaines et s’engage à veiller sur tous les problèmes qu’il leur reste à résoudre « derrière les façades de constructions spectaculaires qu’elles n’ont ni sollicitées, ni désirées ».[1]




[1] Le Président Betancourt fait référence aux travaux publics menés durant la dictature de Perez Jiménez, dans le cadre de sa « politique de concret ».

Le deuil Vénézuélien

« Nous solliciterons le concours d’autres gouvernements démocratiques d’Amérique pour demander conjointement que l’OEA exclue de son sein les Gouvernements dictatoriaux, non seulement parce qu’ils offensent la dignité de l’Amérique[1], mais aussi parce que l’article 1er de la Charte de Bogotá, acte constitutif de l’OEA, stipule que seuls peuvent faire partie de cet Organisme les Gouvernements dignes de respect, c’est-à-dire issus de la volonté populaire exprimée par la seule source légitime du pouvoir, à savoir des élections libres ».

Extrait du discours présidentiel de Rómulo Betancourt
Caracas, le 11 Février 1959



[1] Il faut entendre par là « du continent Américain ».


dimanche 21 juillet 2013

El cambio de nombres de Estados, Plazas y monumentos... uso inveterado de la pràctica polìtica

En los titulares de la prensa merideña del pasado 25 de enero de 2013 se volvía a hablar de la propuesta formulada por ante el Consejo legislativo del Estado para el cambio de nombre. En un primer tiempo, Alexis Montilla, actual gobernador y para entonces legislador del Estado, propuso el nombre de "Cuicas". Ha de haberle parecido demasiado largo el de "la tierra de los Timoto-cuicas" o quizás haya surgido el inconveniente de disputarse la legitimidad de este nombre con los Estados vecinos Táchira y Trujillo, para desistir de esta idea y terminar decidiéndose simplemente por el no menos largo "Estado bolivariano de Mérida", aunque aún nada se haya legislado al respecto. (1)
Hemos de aclarar que esta proposición no es nada novedosa. En realidad, esta práctica instaurada en política desde los tiempos de la Revolución francesa pareciera, pues, no tener fin en Venezuela. Para la época de la Francia revolucionaria, como es bien sabido, hasta el calendario gregoriano se modificó. Así pues, por efecto de un decreto del 25 vendémiaire del año II (16 de octubre de 1793) la Convention Nationale exigió la "descristianización" de los nombres de pueblos y comunas, calles y plazas : serían cambiados todos aquellos nombres comunales y los de las calles que comenzaran por "San" o "Santa", así como también todos aquellos que evocaran la feudalidad, la realeza, la superstición y todos aquellos símbolos de l'Ancien régime". (2)
Poco tardaría nuestro afrancesado Guzmán en trasladar dichas prácticas a Venezuela donde se hablaría del año primero, segundo, tercero, etc., de la Federación. En 1873 se bautizaría al Estado Guárico con su nombre y en 1881 se ampliarían sus límites bajo la denominación del "Gran Estado Guzmán Blanco". Diez años después se establece una nueva división territorial que integra a los Estados Zamora y Bermudes :

Detalle de un mapa de Venezuela para el año 1891. Fuente : AMAE, Correspondance politique et commerciale : Venezuela, 1890-1891, BLANCHARD DE FARGES, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire. DE LACVIVIER, secrétaire, n° 22
A propósito de cambio de nombres, en su "Noticia histórica de la ciudad de Mérida", Tulio Febres Cordero nos comenta lo siguiente acerca de las Calles y Plazas de la ciudad :
En documentos públicos coloniales, aparecen nombradas algunas calles, a saber: la de la Independencia, se llamaba "Calle Real"; la de Bolívar, "Calle del Hospital"; la de Lora, desde el Llano hasta el frente de la plaza mayor [hoy plaza Bolívar], "Calle de la Barranca".Los primeros pobladores dieron al barrio urbano de Milla el nombre de "El Calvario", tanto por ser la parte más alta de la ciudad, como por haber colocado allí, donde más se aproximan las barrancas de Mucujún y Milla, la Cruz o Humilladero con su Capilla.Las plazas, fuera de la mayor, hoy de Bolívar, eran consideradas por el nombre del templo existente en ellas, a saber: plaza de Milla, hoy de Sucre, plaza de Belén, hoy de Rivas Dávila; plaza del Espejo, que conserva su nombre; plaza del Llano, hoy de Rangel; plazoleta del Carmen, hoy Colon (3). Hubo antes del terremoto de 1812 otra plazuela, de San Francisco, a la cual daba el frente del antiguo templo del mismo nombre, situada en el crucero de las actuales calles de Lora y Federación. (4) Existe además, la plazoleta de Miranda, frente al atrio del actual templo de San Francisco, que era antes de San Agustín  hasta que se reedificó en 1856 por cuenta de la Orden Tercera. [...] (5)
Finalmente, puede que aquellos que vivamos más nos ocurra que no terminemos de sentir apego por un nombre o de aprendernos la historia de algún espacio; que no terminemos del todo de apropiarnos del alma de nuestra ciudad cuando a algún político se le ocurra, en vez de reparar alguna calle o puente, o de hacer lo necesario para asegurarse de que todos tengan acceso a los servicios básicos en zonas urbanas y rurales, cambiar algún nombre. Todo lo cual me hace finalmente recordar una historieta muy graciosa publicada en el año 1974 por el célebre dibujante argentino Quino, y pensar que se trata de una práctica política extendida a todo el continente suramericano. La historieta en cuestión expone el pensamiento de uno de los personajes creados por este excelente  narrador de la cotidianidad que más prefiero; y es quizás el más vivo retrato de las aspiraciones de reconocimiento que invaden al más común de todos los ciudadanos desde la invención de las Repúblicas modernas en nuestra querida América hispana. Les confieso que en alguna oportunidad me llegó a invadir la misma idea :


(1) Anibal Behrends, "Consejo Legislativo de Mérida cambiará el nombre del Estado", El Universal", Caracas, 31 de enero de 2013, URL: http://www.eluniversal.com/nacional-y-politica/130131/consejo-legislativo-de-merida-cambiara-el-nombre-del-estado.
(2) Jean-Baptiste Duvergier, "Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, avis du Conseil d'Etat", Archives de la Révolution" [En ligne], Paris, A. Guyot et Scribe, 1834, URL: http://archive.org/details/collectioncompl14duvegoog.
(3) Profanada en el 2004 por partidarios del nuevo movimiento revolucionario, entre cuyos ideales está la exaltación de "lo patrio", cuestión esta de difícil delimitación dado el complejo entramado de influencias históricas que marcaron el devenir de Venezuela.
(4) Allí se encuentra hoy día una estatua del célebre artista inglés Charles Chaplin y no la de José Gregorio Hernandez, como en muchas oportunidades lo escuché...
(5) Belquis Araque, Adelis León Gueveara, Alcides Monsalve y Gregory Zambrano (dir.), Clave Histórica de Mérida: Tulio Febres Cordero, 6ta éd., coll. Clásicos del Pensamiento Andino, Mérida, Universidad de Los Andes, Publicaciones del Vicerrectorado Académico, 2005, p. 87.

jeudi 18 juillet 2013

Lo dijo Guzmàn

De esta manera se expresaba el general Guzman Blanco en su discurso al Congreso en el año de 1876 :

Este caudillo de la revoluciòn liberal, gobernò a Venezuela de 1870 a 1877; de 1878 a 1884 y de 1886 a 1888.
Los cuarenta años a los que se refiere son aquellos que transcurren desde la separaciòn de Venezuela de la Gran Colombia (1830) hasta el triunfo de la revoluciòn federal y su llegada al poder (1870). De hecho, segùn las fuentes diplòmaticas de la época, recibiò con bastante desagrado desde Paris, la noticia de la repatriaciòn de los restos del general Pàez en 1888, los cuales se encontraban en una fosa comùn de los Estados Unidos.

Cualquier parecido con la realidad es pura coincidencia històrica...

jeudi 4 juillet 2013

L'éducation au Venezuela par A+B, rapporté par une étude publiée dans la documentation française en 1964

Dans un billet du mois d'avril, deux de mes lecteurs m'ont tenu tête à propos des bien faits de la révolution bolivarienne en matière d'éducation. L'image qu'ils donnaient du Venezuela était celle d'un pays où ce droit des citoyens et ce devoir de l'Etat, l'éducation, aurait été inexistant ou réservé aux élites.
Cet extrait d'une publication de la documentation française de 1964 sur le Venezuela contribuera à appuyer mes dires et à démentir le mythe de la révolution bolivarienne.








Rien de plus dur que casser le mythe de la propagande politique quand celui-ci a été financé par les sommes extraordinaires rapportés par le pétrole. On notera qu'en 2005 le prix mondial du baril du pétrole a fait rentrer au Venezuela des sommes extraordinaires d'argent. La vérité c'est qu'aucune nouvelle infrastructure a été créé pour assurer ce droit à une population vénézuélienne croissante (8 millions à la fin des années 1950, 18 million d'habitants dans les années 1980, 22 millions dans les années 1990 et un peu plus de 27 million selon le recensement de 2011 !).
Certaines salles d'informatique ont été équipées, certes, mais un cas sur dix ne mérite pas, à mon sens, l'admiration qu'à réussi à soulever le mythe de la révolution bolivarienne... Les quelques institutions expropriées qui ont servi d'installations aux universités bolivariennes, les chiffres gonflés de diplômés et des personnes "alphabétisées"  qui assuraient en réalité une clientèle électorale politique, auxquelles les quelques billets que le gouvernement leur assurait en s'inscrivant dans l'une des missions éducatives était un raison de plus pour appuyer le projet gouvernemental, ne sont pas, de mon point de vue, des véritables actions en faveur de la connaissance critique et de l'indépendance scientifique.
À presque un mois de la grève de la faim de la communauté universitaire - universités vieilles de plus de 300 ans, dont l'une, l'Université Centrale, déclarée patrimoine de l'humanité -, on entend à nouveau les médias cautionner le mensonge. Certains parlent d'universités semi-publiques... La diffusion de ces informations, tirées directement des porte-paroles d'un gouvernement illégitime, est honteuse pour la profession du journalisme.
Les universités du Venezuela, encore une fois, sont gratuites, publiques et autonomes. Les frais d'inscription de l'année sont purement symboliques (moins de 50 centimes d'euro dans tous les cas). Mon Alma Mater, l'Université des Andes, offre par ailleurs un service de RestoU entièrement gratuit depuis bien avant l'arrivée de Chavez au pouvoir.
Je pense que le Venezuela est l'un des rares pays, sinon le seul, où l'Etat assure tant des facilités pour l'éducation supérieure. Evidemment, l'augmentation exagérée de la population pendant les trente dernières années a mis en échec le système d'éducation publique. Les épreuves de sélection interne (car au Venezuela, le processus de sélection universitaire s'opère en amont à l'inscription) n'étaient certainement pas adaptées à une demande de plus en plus grandissante. Mais était-ce une raison pour que Chavez et son gouvernement condamnent à mort 4 décennies d'histoire académique de qualité ? Je ne le pense pas.
Encore une raison pour affirmer qu'il s'agit bel et bien d'un régime totalitaire, où la liberté de pensée est censurée car elle met en péril la façon dont le pays est dirigé et questionne la permanence des nouvelles élites au pouvoir.

L'évolution du système éducatif vénézuélien en chiffres (1955-1962) :
Tableau 44
Les inscriptions
Branches
1956-1957
1961-1962
Augmentation %
Jardins d’enfants et écoles primaires
694.193
1.297.965
87
Secondaire
52.420
122.311
133
Normale
7.697
32.434
321
Technique
17.021
49.602
191
Instituts pédagogiques
322
2.536
687
Universités
8.434
29.205
231
Enseignement pour adultes
20.000
36.000
80
Totaux
800.087
1570053
96



Graphique 1

Taux de continuité des études primaires au Venezuela
 Graphique 2
Taux de continuité des études secondaires au Venezuela

Graphique 4
Infrastructure éducative du Venezuela. Évolution entre 1957-1962

Pour  une vision plus approfondie de l'histoire universitaire et de l'histoire sociale et institutionnelle de l'éducation secondaire, nous renvoyons aux articles suivants en langue espagnole :

Reinaldo Rojas, « Historia de la universidad en Venezuela » [En ligne], Heuristica, N° 005, Mérida, Universidad de Los Andes, SABER-ULA, 31 août 2007, URL : http://www.saber.ula.ve/handle/123456789/21037

Suzuky Margarita Gomez, « Historia social et institucional de la educación secundaria. El liceo Andrés Bello de Caracas, 1925-1945 » [En ligne], Revista universitaria de investigación y diálogo académico, vol. 2, N° 1, 2006, URL : http://conhisremi.iuttol.edu.ve/pdf/ARTI000061.pdf. 

mercredi 3 juillet 2013

On ne fait pas cadeau du Venezuela et on ne baisse pas les bras !



Reportaje de France 5 por François-Xavier Freland


"L’Institut des Hautes Etudes Européennes (IAEE) a publié un rapport signalant que, lors des élections présidentielles vénézuéliennes du 14 Avril 2013, il y a eu un « vice de nullité affectant l'ensemble du processus électoral » 
URL : http://www.iaee.eu/material/Informe_Final_Observacion_Electoral_Venezuela_14_abril_2013.pdf.

Le rapport présente une liste d’irrégularités, notamment l'interprétation erronée des articles 229 et 232 par la Chambre constitutionnelle du Tribunal Suprême de Justice, qui a permis la candidature de Nicolas Maduro alors que son statut de vice-président ne l’y autorisait pas.

Maduro n’est donc qu’un président illégitime puisque la Constitution ne l’autorisait même pas à être candidat."